Si l’on devait caractériser le physique d’Holiday on commencerait par remarquer sa taille d’1m75, grande, mince et élancée. En un simple regard elle semble pouvoir se briser en morceau pourtant son charisme permet d’oublier son aspect frêle et sans défense tout à fait contraire à son caractère. Les yeux de la jeune fille dégageaient un mystère, aucun reflet quel qu’il soit ne permet de déchiffrer ses pensées. La plupart du temps elle reste inexpressive. A mieux regarder la couleur de ses yeux, un mélange de deux pigments. Suivant l’axe, ses yeux passent de vert jade à clair. Cette dernière teinte est surprenante et à la fois envoûtante qui lui permet d’attirer l’attention. Vous l’aurez compris, son atout le plus grand dans le monde du mannequinât sont ses yeux. Une longue chevelure ondulée et soyeuse se retrouve à encadrer son visage fin et ovale par des mèches de différentes longueurs par un dégradé. A sa naissance, la jeune fille avait hérité d’un brun virant sur le noir. Le froid glacial qu’elle dégageait lors des photoshoots venait de la pâleur de sa peau, presque fantomatique complètement opposé à la pigmentation de sa chevelure. Ses sourcils bien taillés entouraient la forme de ses grands yeux disposés en amandes. Viens ensuite son nez fin convenant parfaitement à la morphologie de son visage. Deux lèvres fines rose pâle, glosées naturellement terminent la visite de son visage. Si l’apparence physique pour certain n’était que du superflu, pour Holiday il s’agissait de son gagne pain. Vous comprendrez aisément qu’elle entretienne son corps aussi souvent qu’elle le pouvait en faisant un petit jogging le matin ou encore des abdominaux sans trop en abuser. Le matin, pour se coiffer, elle passait négligemment sa brosse dans sa chevelure ondulée qui reprenait place toute seule sans gestes supplémentaires. Pour les castings, elle essayait de rester le plus naturel possible, de toute façon, les artistes encore appelés maquilleurs amélioreront toujours son visage en appuyant sur ses atouts et en dissimulant ses défauts. Autrement, dans la vie courante, la jeune fille soulignait ses yeux d’un crayon noir pour faire ressortir la couleur claire de ses iris.

Taille: 175 cm (5.9 US)
84-60-90
Cheveux : brun
Yeux : vert
Pointure : 40 (8.5 US)

○ C'est toute une histoire... ; Las Vegas 24 août 1991

Une jeune femme d’origine française traversa la ville en tenant fortement la main de son mari, le ventre bien rond, son visage marqué à intervalle régulier, par la douleur qu’elle ressentait dans le bas de son ventre. Pourtant, son sourire reprenait toujours le dessus, la joie immense se lisait sur son visage car un enfant allait bientôt naître de l’amour entre ses deux parents et une vie paisible s’offrirait à lui ou presque. Trois années auparavant, Philippa Lewis entra dans un hôpital, blessée au bras par une vilaine coupure faite à l’arme blanche. Son sang roulait le long de sa peau tendis que sa peau devenait livide à mesure que le temps s’écoulait. La jeune femme s’était faite agresser dans la rue, simplement parce qu’elle avait un physique plutôt flatteur. De quoi attiser les envies lubriques de certains loustics des bas quartiers. Cette nuit là, elle tenta tant bien que mal de s’en sortir indemne, griffant son agresseur au visage, et lançant des coups de pieds bien placés à ceux qui se croyaient invincibles. Une montée de sang au visage, l’un des jeunes présents sur les lieux, lança la lame de son couteau dans la direction de la belle pour l’effrayer seulement son coup parti plus vite qu’il ne l’avait prévu la blessant sévèrement au passage. Au même moment, le gang adverse traversa le terrain de basket pour secourir la demoiselle. James Meeser glissa vers elle, détachant son bandanas pour l’enrouler autour de la blessure pour stopper tant bien que mal l’hémorragie. Après quoi, il l’emmena d’urgence vers l’hôpital le plus proche, conservant ses distances avec les médecins jamais très loin des forces de police. Grâce à lui, Philippa s’en sortit, conservant une légère cicatrice sur le bras, elle lui était redevable ainsi qu’à ses amis.

Leur première rencontre fut mouvementée mais pas inutile puisque deux années après, ils s'unirent pour le meilleur et pour le pire. Neuf mois plus tard, le ventre rond de Miss Meeser devenait grognon et souhaitait laisser voir le jour, un petit bijou. Parfois, James posait sa main le long du ventre de Philippa afin d'en sentir les petits coups de poings et de pieds que ce petit rebelle donnait pour marquer sa présence. L'heure n'était pourtant pas à la plaisanterie, les contractions se faisaient de moins en moins espacées, leur fille voulait voir le jour et connaître la vie extérieure et non celle d'une piscine avec self service intégré. Enfin, le taxi s'arrêta devant un hôpital de la ville de Las Vegas. Aussitôt, une aide soignante sortit pour accueillir la future maman et la placer sur un brancard, l'amenant lentement mais sûrement dans une salle aménagée. Là bas, elle attendrait le moment où sa petite fille sortirait au grand jour. D'ailleurs, ce moment ne se fit pas prier, le bébé voulait voir le monde avec ses petits yeux, Philippa poussait fortement écrasant la main de James qui tentait de l'aider comme il le pouvait. Une seconde, un soupir, un cri, voilà un nouveau-né, une nouvelle vie qui venait d'apparaître. Elle se prénommerait Holiday Neïa Meeser, un prénom qu'ils chériraient tous les deux jusqu'à la fin de leur vie...

Au bout d'une semaine, ils ramenèrent leur enfant avec eux dans leur appartement à New York surplombant la ville avec une magnifique vue et une odeur étrange. Si peu de moyen et pourtant ils aimaient leur vie telle qu'elle l'était à présent. James ne participait plus aux guerres de rues, continuant tout de même à se faire des connaissances dans le quartier au cas où cela serait utile. Pour nourrir la bouche supplémentaire qui venait de les rejoindre, il prit un job de travailleur dans le bâtiment. Cette vie convenait à James et à sa famille. Tous les deux voulaient le meilleur avenir pour leurs enfants et il était certain qu'ils ne s'arrêteraient pas à une seule petite bouille d'ange.

La jeune plante s'épanouissait jour après jour dans le cocon familial préfabriqué de ses parents. La petite américaine était heureuse, apprenait de ses erreurs d'enfants pour se relever bien plus courageuse. Sa mère s'occupait de son éducation et la préparait à sa vie future tout en gérant son temps avec son travail très prenant. Mais l'enfant, plutôt que de travailler, préférait s'amuser avec son voisin de la maison Tanaka. Avec cette éducation, la petite fille intelligente, charmante et sociable se devait de donner toujours le meilleur d'elle-même et refouler ses pensées. Seulement, lorsqu'elle eut ses douze ans, ses parents lui annoncèrent leur départ pour la France, le pays d’origine de sa mère, aux grandes promesses d'avenir pour leur famille. Holiday ne savait plus quoi penser. Elle allait quitter ses amis, ses voisins vers une terre inconnue avec des moeurs différentes et une culture différente peut être trop à son goût. Pourtant, l'adolescente accepta son sort, elle n'avait pas vraiment le choix. Toute la famille Meeser partit pour Paris, la capitale où un appartement de quatre pièces principales les attendait. Certes le cadre était bruyant la journée mais leur nouvelle habitation était proche des lieux de travail de Philippa et James. Pendant cinq années, la jeune fille eu le droit à des cours particuliers de français en accéléré afin d'en maîtriser la langue. Une épreuve qui ne se passa pas sans mal. En grandissant, elle n'en oubliait pas non plus de paraître correcte et adorable, sans jamais réellement montrer ce qu'elle éprouvait. Ainsi, Holiday se protégeait des regards indiscrets et évitait de se faire rejetée sans bloquer toute rencontre. Elle ne fut pas pour autant rejetée seulement, personne ne la connaissait vraiment.

Journée shopping en perspective, la brunette s'était préparée comme une fashion victime, appréciant la mode à sa juste valeur - par ailleurs elles collectionnaient dans sa chambre les magasines de mode- et attendait impatiemment sa meilleure amie. Les autres filles les retrouveraient par la suite dans le grand centre commercial des galeries Lafayette. Un dernier coup d'oeil dans le miroir pour arranger l'épaisseur de cheveux bouclés qu'elle avait sur la tête avant d'ajouter sa veste et son sac à main qu'elle plaça sur ses épaules. En avant l'aventure, les cartes de crédits seraient prêtes à chauffer cet après midi. Une fois arrivée sur les lieux, elles lancèrent un regard équivoque avant de se précipiter dans le rayon vêtement, comme elles en avaient l'habitude. Mieux encore, les soldes leur permettraient des folies qu'elles ne pourraient pas s'autoriser sans un rabais intéressant. L'avantage de cette boutique était qu'elle recelait de marques en tout genre ainsi que de design d'inconnus qui mériteraient d'avoir une excellente réputation. Alors que, la brunette s'intéressait d'un peu plus près à une robe en laine grise, une femme vint l'aborder. Au premier abord cette belle blonde à la silhouette avantageuse pourrait être prises pour la patronne du lieu habillée ainsi d'un tailleur dernier cris mais bien vite ses idées prirent fin lorsqu'elle lui tendis une carte de visite.

« Bonjour mademoiselle. Si vous le permettez j'aimerais emprunter quelques minutes de votre temps. Je suis Elizabeth Campton, je suis chasseuse de tête pour la Caranston Models Agency. »

Les yeux ronds, sans voix, Holiday ne savait quoi répondre. Par ailleurs son regard balayait les lieux de droite à gauche afin de une de s'assurer qu'elle était bien la destinataire de ses paroles et de deux s'assurer qu'il ne s'agissait pas d'un gag filmé pour une émission télévisée.

« Enchantée mais ... pourquoi me dites-vous cela ? »

« Vous semblez avoir la carrure pour entreprendre une carrière de mannequin mais pour s'en assurer je souhaiterais que vous passiez à l'agence pour faire des essaies photos afin de s'assurer de votre photogénie ainsi que de vos mensurations. Passez nous voir demain matin et demandez mon nom.»

Juste quelques mots qui laissa sans voix la jeune fille totalement abasourdie par cette nouvelle. Elle ? Mannequin ? Elle devait plaisanter ou alors est ce que son rêve devenait réalité ? Depuis sa plus tendre enfance, Holiday appréciait la mode, le mannequina en général ainsi que les photographies de qualité excellente que des professionnels en photographies prenaient avec perfection. Et là ? Une ouverture venait de se réaliser, une petite brèche dans laquelle elle s'engouffrerait. Une fois les pieds revenus sur terre, la jeune fille se précipita vers sa meilleure amie pour lui raconter ce qui venait tout juste de se passer afin d'avoir un peu d'aide et de soutient. Après une nuit horrible avec seulement quatre heures de sommeil, Holiday se prépara avant de faire route vers l'agence de mannequin. A l'entrée, elle mentionna le nom de la jeune femme qui l'avait abordée dans une boutique de la capitale et bien vite, une assistante la fit monter au premier étage. Durant une heure, la brunette eut le droit à un entretient détailler, nom, prénom, âge, poids, famille, casier judiciaire, la prise de ses mensurations, des photographies de son visage pour finalement être engagée par la Caranston Models Agency. Rien n'était pour autant gagné, âgée de dix sept ans, elle voyait le monde de la mode comme une « facilité » mais il en était autrement. Un monde de requin prêt à dévorer les plus faibles, un monde qui proposait les meilleurs contrats aux mannequins les plus renommés laissant les restes aux nouvelles recrues si elles passaient l'étape délicate des castings. Malgré tout, après deux années de travail acharné, Holiday réussit à obtenir de nombreuses places dans des défilés et quelques covers, en restant toujours la même, une fille au visage froid durant son « travail » et une fois derrière le rideau, elle reprenait son sourire, s’amusait, disait quelques blagues pour détendre l’atmosphère tout en discutant avec ses amies mannequins.


○ ... Et un sacré caractère ; « Les âmes les plus complexes sont les plus simples à comprendre. La délicieuse Holiday pourrait être comparée à une douceur sucrée, acidulée comme un bonbon multicolore au coeur onctueux. »

En tout premier lieu, sa couverture brillante, attire les regards. Cette brunette au tempérament de feu et au caractère bien trempé vous séduira certainement par ce côté frivole mais surtout par son physique de poupée de porcelaine pailletée. Cette petite chose fragile en apparence, réclame une attention toute particulière par vos soins. Certain se risque à s'approcher de plus près de la demoiselle sans prendre d'autre précaution que leur détermination à devenir son ami ou son ennemi. Qu'importe son titre à leur égard, elle restera graver dans l'esprit de ceux qu'elle côtoie chaque jour. Lorsque ce joli papier coloré laisse place au bonbon dur multicolore et acidulé, la personnalité d'Holiday ressort sans conteste. Ce bonbon aux couleurs arc-en-ciel réserve bien des surprises. Hyperactive, elle multiplie les activités quelles qu'elles soient et discute sans vergogne avec ceux qu'elle rencontre. Une manière de ne pas se faire oublier car l'une de ses hantises est de passer inaperçu, d'être quelconque, une « vie » parmi tant d'autre sans pour autant sortir du lot. Parfois acide, son esprit refuse à penser négativement sous peine de perdre le moral et d'être totalement paralysée par ses émotions. Son visage reflète ses émotions les plus fortes mais jamais vous ne la verrez en perdre le contrôle. Vous la trouverez souvent raconter des histoires farfelues pour occuper son temps libre, une manière efficace d'identifier ceux qu'elle ne porte pas dans son coeur et surtout, de se détendre lors des instants les plus tendus car bien que le mannequinât soit pour les esprits les plus forts, Holiday n'en restait pas moins humaine et adorable. Sous cette carapace à l'apparence inébranlable, se trouve un coeur onctueux et doux. Difficile de croire que derrière cette force de caractère, ce mordant se découvre une jeune fille fragile. Les peurs qu’elle ressent sont dues à son passé, un passé qu’elle s’efforce d’oublier. Par moment, des flashs lui reviennent à l’esprit, sans crier garde, dès lors qu’un mot ou une expression déclenche la remontée de ce souvenir douloureux. Dans ses moments là, elle préfère être seule et se cache dans l’endroit désert le plus proche afin de faire le vide et de reprendre le dessus.

○ Avec des bons côtés... ; Le mannequinat permet de se faire chouchouter par des coiffeurs et des maquilleurs qui prennent le temps de s’occuper de vous. Beaucoup rêverait d’un relooking et lorsqu’on est mannequin on y a le droit presque chaque jour. C’est à la fois angoissant et très intéressant. Mon image change selon le créateur. Mieux encore, je porte des vêtements hors de prix, des vêtements réalisés selon mes mesures. J’avoue, certains vêtements ou accessoires ne plaisent pas vraiment mais ce n’est qu’un détail. Oh j’oubliais ! Dans les coulisses en back stage des défilés, des journalistes viennent nous poser une multitude de questions. Le mannequinat est un métier épuisant seulement j’y trouve tout ce dont j’ai besoin. C’est comme un métier d’acteur, au fond on change de personnage au gré des vêtements que l’on nous propose.
○ ... Et des mauvais côtés ; Néanmoins, ce côté pailleté et doré comporte de nombreux défauts que l’on apprend au fur et à mesure. Pas question de prendre un kilo sous peine de se voir renvoyer et croyez-moi, il est difficile de résister au petit four. L’industrie de la mode est un monde de requin, seul les plus forts et déterminés l’emporte et pour les autres, ils subissent simplement leur manque de confiance ou leur image pas assez « attractive ». L’image toujours l’image. Avec un visage inexpressif, l’on doit mettre en valeur des vêtements, des sacs à mains ou que sais-je. Nous ne sommes au fond que des poupées dorées qu’ils s’amusent à manipuler lors des photoshoots ou à conduire sur les podiums. Les mannequins ont à peu près toutes les mêmes mensurations, la différence se retrouve dans leur manière de marcher ou encore leur capacité à prendre la pose rapidement comme le désir le photographe en face d’eux. Ce métier est stressant, une erreur et vous tombez, un éclat et vous brillez. Mais les diamants sont ils réellement éternels ?

○ Domaine(s) de prédilection ; : La brunette se débrouille plutôt bien sur les podiums bien que sa marche reste encore un peu trop « mécanique », son port de tête restait droit, elle n’a jamais glissé sur une longue robe qu’elle portait et ça réellement, c’était un exploit. Elle préfère défiler toute habillée et non à moitié nue à savoir vêtements, prêt à porter, robe de marier, robes de cocktail tout, tant qu’il ne s’agit pas de maillots de bains ni de défilés en sous-vêtements. Oui la miss n’apprécie pas de dévoiler un peu trop sa peau enfin ce n’est qu’une misérable excuse pour dissimuler le fait que sa poitrine n’est pas assez abondante pour être mise en valeur dans de tels vêtements. D’un sens ça l’arrange. Outre cet atout pour les défilés, les photographes apprécient son regard verts pâle associées à chevelure foncée et à une peau très pâle. Elle porte donc brillamment les styles un peu gothiques, vêtements sombres, qui ressortaient parfaitement sur sa peau ; Son regard ainsi figé, rend une image forte donnant l’impression qu’elle peut vous manger tout cru. Pour le moment, elle met juste trop de temps avant de trouver des pauses qui plaisent aux professionnels ce qui en exaspére plus d’un.
○ Domaine(s) en vue ; Elle aimerait poser pour une marque de cosmétique.
○ "I had a dream"... ; Holiday rêverait de pouvoir être l'égérie d'une grande marque de maquillage, lui ouvrant ainsi si de nouvelles portes et lui offrant un contrat d'un an de prospérité et une image affichée un peu partout dans les quatre coins du pays. Ca ne lui déplairait pas non plus d'être photographié par le roi dans ce monde Karl Lagerfeld. Toutes ses photos sont de vrais monuments historiques, marquant à chaque apparition les esprits du publique ainsi que des professionnels.. Certain tuerait pour avoir une photo prise par lui. Mais ne nous emballons pas, la miss est très très loin de ce résultat et bien qu'elle espère un jour faire partie des mannequins les plus reconnut, elle sait que ce n'est qu'un rêve. Tout le monde a ses limites et elle connaît les siennes.
○ S'il y a bien un magazine de mode ; Dans sa vie, un magasine lui a donné l’envie, la véritable envie de devenir mannequin et il s’agit de « Vogue ». Impossible pour tout fan de mode de ne pas connaître ce nom. Qui ne rêverait pas de se retrouver en couverture du magasine et d’avoir deux pages pour lui tout seul ? En tout cas Holiday espère un jour avoir cette chance mais pour l’heure elle se délecte des photographies qui s’y trouvent.
○ Les côtés cool de la popularité ; L'avantage avec la popularité est de se voir proposer des castings plus intéressants, certains créateurs peuvent même finir par se battre pour t'avoir. Plus on est connu, plus on plaît à d'autres créateurs/photographe et plus on est payé. L'argent c'est bien triste de devoir e parler mais reconnaissons le, un mannequin met du temps à gagner de quoi survivre dans la capitale française. Des heures d'attentes pour cinq secondes et un sourire, des pieds abîmés par les chaussures neuves lors des défilés tout ça pour passer en coup de vent devant la scène. Oui l'un des plaisirs à être connu c'est d'avoir une rémunération décente voir plus que décente.
○ Vive la colocation... ; La colocation ? Ca ne m'embête pas du tout. J'adore les gens et si un jour je prends la grosse tête, ma famille m'assommerait sans concession. Je suis plutôt organisée et adorable. Je ne suis pas stressée et pas non plus colérique. En réalité toutes les sortes de personnalité me conviennent sauf peut être les rabats-joints ou les égocentriques.

Bonjour bonjour. Depuis le temps que j’espérer tomber sur un forum comme celui ci avec tout pleins de model que personne n’ose prendre sur les autres forums. Si vous saviez ce que j’en ais marre de voir des Sophia Bush et des Kristen Stewart partout >< Elles me donnent la migraine et je vais finir par les trouver affreuses alors que ce n’est pas le cas. Je me présente, on me trouve sur le net sous le pseudo « Espe », 20 ans. J’adore les mannequins depuis plus d’un an, je ne dirais pas que j’achète des magasines pour voir leur photoshoot mais j’adore me ballader sur thefashionspot ou Bellazon qui sont devenus pour moi des sites de références. Parmi les mannequins que je préfère ? Julie Ordon (aa) ma préférée, Darla Baker (qui me rappelle Mercredi Adams sur certain shoot), Andi Muise, Candice Swanpoele, Caleb Lane, Cesar Casier, Cintia Dicker (ma fifi brindacier), Vlada Roslyakova et des plus connus ou prisés sur d’autre fo’ comme Matthias Lauridsen, Nicolas Bemberg (le frenchie) ou encore Kevin Flamme (un autre frenchie).