Fille dans la rue 1 » Oh putain ! Lui il est trop sexy !
Fille dans la rue 2 » T’as raison ! Putain il est vraiment parfait ! Et tu as vu la taille qu’il fait ! S’il pouvait me serre fort dans ses bras…
Fille dans la rue 1 » Je te signale que je l’ai vu en premier ! J’adore l’été ! Ce tee-shirt le moule vraiment trop bien, il a l’air d’avoir un de ces corps !

Les deux greluches ne mentaient pas. Lune marchait dans Paris en plein mois d’Août pour se rendre à un shooting. Son allure ? Lune n’y faisait guère attention lorsqu’il déambulait dans la rue, mais s’il était aussi apprécié des photographes, ce n’était pas pour son physique mais plutôt pour son charme. Mais il était mannequin de profession ce qui incluait malgré tout une certaine beauté. Du haut de son mètre quatre-vingt sept il se faufilait entre les passants asiatiques ou slaves qui visitaient Paris à cette époque de l’année. Ses cheveux bruns foncés volant au vent, il pouvait arriver décoiffé, de toute façon il passerait au moins vingt-cinq minutes entre les mains d’un coiffeur et trente autres entre celle d’un maquilleur. Son allure athlétique, il la devait à de longues heures d’entraînements. Il savait très bien que s’il allait poser pour des sous-vêtements Calvin Klein, c’était aussi pour son torse qui était souvent comparé à du béton. Sur son nez, ses Ray-Ban cachaient son regard vert où se mêlaient des nuances de brun et de fauve. Il avait souvent été complimenté pour ce regard que l’on qualifié d’envoûtant à cause de sa complexité. Son corps dans son ensemble était beau, mais rien de plus ou de moins qu’un autre. La différence se faisait sur cette sorte d’aura qu’il dégageait, tantôt sérénité tantôt grande agitation. Pour ses mensurations elles sont très agréables, 96 centimètres de tour de poitrine, 79 centimètres de tour de taille et pour ce qui était des chaussures il faisait un 43, quant à ce qu'il a dans le caleçon... Non ça s'est un secret.

Photographe » Sur celle-là il a le truc.
Agent » Je pense que ses yeux devraient être plus ombrés.
Photographe » Non, sinon la couleur de ses yeux ne ressortira plus.
Agent » Je prends le risque. Je veux plus d'ombrage sur ses yeux.

○ C'est toute une histoire... ; 40 lignes minimum sur l'histoire du personnage ; précisez bien comment le personnage est entré dans le mannequinat et à la Caranston Models Agency.
○ ... Et un sacré caractère ; Lune, c’est une énigme. Personne ne sait qui il est. Vous vous dites que c’est un sacré avantage dans le monde de la monde de préserver le mystère, l’inconvénient réside là. Lui non plus ne sait pas qui il est. Il se fait peur, plus que tout au monde. La gloire, la célébrité, la drogue, la violence. Rien ne l’effraie autant que lui-même. Ce qu’il est prêt à faire pour gagner un contrat, pour gagner sa vie… Il s’est découvert sans cœur sur un shooting, n’hésitant pas à écraser un autre model pour être pris. Cette violence fourbe à laquelle il n’était pas habitué lui déplaisait fortement. Son physique plus angélique que son âme est un gouffre intellectuel. Lune se perd dans des labyrinthes de ses pensées. Pacôme est une personne extrêmement réfléchie, de plus il a été habitué à vivre dans une société où l’argent n’est pas un problème et où les gens sont fourbes et calculateurs. Lui qui c’était toujours flatté de ne pas être tombé dans le cliché, récemment il s’est découvert une nature qu’il ne soupçonnait pas. L’enfant est aussi un fêtard notoire depuis qu’il a quinze ans, six ans après son amour pour la boisson et pour la cigarette n’ont pas diminué, il a seulement découvert les drogues douces auxquelles il n’a cédé qu’à de très rares occasions, sa raison le rappelant toujours que sa santé est sa carrière. L’enfant prodige est torturé par un problème de sexualité, ses parents ayant constaté sa déviance l’ont envoyé à Paris pensant l’éloigner de ses relations infréquentables. La mode était un véritable baisodrome, c’est le côté frivole de son caractère qui a pu s’exprimer. Le jeune homme est un grand exubérant, restez avec lui trois minutes et vous l’adorerez, ou le détesterez. Si vous avez de la tchatche par contre… Vous aurez l’impression de le connaître depuis toujours et ne voudrez plus le lâcher avant la fin de votre carrière. Ce garçon est une énigme pour lui-même. Mais il aime être lui. Intelligent sans être barbant, amusant sans être usant, exubérant sans devenir outrageux. Il est l’ami que vous rêvez d’avoir ou celui que vous détesterez à plaisir.
○ Avec des bons côtés... ; Journaliste » Qu’aimez-vous dans votre activité professionnelle ?
Lune » Il y a bien sûr des avantages que tout le monde connaît. L’argent que je gagne me permet d’avoir un niveau de vie tout à fait confortable. Je ne suis pas prêt d’être millionnaire, évidemment, mais je gagne très bien ma vie pour un jeune de 21 ans. Ensuite, je pense qu’un autre avantage est que l’on arrive à avoir des vêtements, des accessoires sans avoir à les payer. Pour un malade de la mode comme moi, c’est une sacrée dépense en moins sur mon budget. L’agence est assez généreuse quand elle veut. Je dépense néanmoins une somme coquette dans les vêtements. Pour finir, je pense qu’un avantage, qui va avec la popularité et que l’on a accès à un monde que les gens du peuple, si je puis dire, ne fréquentent pas. Les boîtes nous ouvrent leur porte et les carrés VIP sont les endroits que nous fréquentons avec le plus d’assiduité. J’aime ma condition de mannequin pour le côté social qu’il y a, on est dans une bulle mais avec d’autres personnes et on a tous à peu près le même âge. C’est vraiment génial.
○ ... Et des mauvais côtés ; Journaliste » Et les inconvénients ?
Lune » Ils sont peu nombreux. Pour moi ils sont même quasi-inexistants. J’adore mon métier, mais il est assez envahissant. Par moment je me dis que je ferais mieux d’arrêter mes études, qui me passionnent, pour être mannequin à plein temps, gagner beaucoup plus d’argent, et ensuite m’offrir une année sabbatique afin d’obtenir ma licence. Le côté secte est aussi assez pénible par moment, on voit toujours les mêmes personnes, il n’y a que peu de nouveauté. Un des défauts qui découlent de là, et je vais me faire taper sur les doigts si je le formule ainsi, mais c’est… hum… Disons juste que je ne suis pas de ceux qui lèchent les bottes. Ah et il y a aussi l’hygiène de vie qui découle du métier. J’ai la chance d’avoir un organisme qui ne me fait pas grossir. Et enfin il y a la drogue et la maladie. Mais bon, on va pas parler de ça, je suis en forme et je ne me drogue pas.

○ Domaine(s) de prédilection ; : Ce qu'il aime lui, ce sont les shootings, pourquoi ? Il ne sait pas l'expliquer. Mais il s'est toujours dit qu'il avait été engagé la première fois pour sa photogénie et il s'est découvert un véritable amour pour le mannequinat en posant. Il est cependant aussi convié pour des défilés de maillot et de sous-vêtements. Côté shooting il aime beaucoup l'aspect sexy de certains d'entre eux. Ils est aussi mannequin de détails pour ses yeux, ses lèvres et son torse. La haute couture lui a tendu les bras pour des défilés et il a aimé ça, tout le faste et l'ambiance backstages.
○ Domaine(s) en vue ; Il envisage de se concentrer sur les publicités qui sont exposées au grand public, pour gagner plus d'argent d'abord et ensuite parce qu'il idéalise le cadre. Et il considèrerait comme un accomplissement d'être le mannequin d'un spot publicitaire pour un parfum.
○ "I had a dream"... ; Il rêve d'être l'égérie de la maison United Colors of Benetton, dont porte les vêtements de façon extrêmement régulière, il sait que ce n'est pas la plus grande des maisons dans le domaine haute couture mais c'est une maison qui l'a toujours attiré, et ce bien avant qu'il ne démarre sa carrière. Il rêve, dans un milieu haute couture, d'être la muse de la ligne homme d'Yves Saint Laurent.
○ S'il y a bien un magazine de mode ; Toute personne qui travaille aime voir le résultat de son acharnement. Lui aime particulièrement son travail sur papier glacé. Il apprécie donc énormément Vogue Homme dans lequel il s'amuse à retrouver les noms de ses collègues de travail.
○ Les côtés cool de la popularité ; Être reconnu dans la rue ? Ce n'est pas ce qu'il préfère. Pour une raison claire, il est étudiant à La Sorbonne. Et être reconnu n'est pas forcément un avantage quand on cherche à passer inaperçu dans sa fac. Lune a par contre une adoration pour les vêtements et être mannequin et populaire lui permet d'obtenir des vêtements sans avoir à les payer. C'est la raison pour laquelle il voue un culte à l'agence. L'un des derniers aspects positifs est l'émancipation financière qui va avec la popularité. Lui qui n'a plus de contact avec sa famille doit se débrouiller seul financièrement et ses salaires lui permettent d'entretenir son physique, sa garde-robe et les dépenses annexes qui se situent dans le domaine de la fête et les plaisirs.
○ Vive la colocation... ; Lune est de ces gens qui sont ultra-extravertis. Il aime plus que tout faire la fête, cependant il y a un soucis avec la colocation. Quand vous avez deux colocataires bruyants, ou amusants, pour bosser sur ses cours de droit ce n'est pas vraiment l'idéal. Mais en général il est de ceux qui arrivent après une soirée de cours à l'appart avec une bouteille de vodka à la main pour une soirée de dingues. Puis s'il peut s'amuser, physiquement parlant, avec eux ce n'est pas plus mal.

Moi ? Vraiment ? J'intéresse quelqu'un ? Avant tout j'adore Vlada Roslyakova... Je suis dans le monde du Rp depuis plus de trois ans, je suis toujours plus où moins à l'image de mes personnages, le physique en moins. J'utilise quasiment uniquement des models pour les avatars. Que ce soit Eugen Bauder, Mathias Lauridsen, Dimitri Vankerkoven, Kevin Flamme, Louis Prades, Luke Grimes ou Marcus Hedbrandh. Je ne suis pas un client de la presse de mode. Cependant j'aime bien feuilleter Vogue Homme, GQ ou encore Citizen K pour les pubs. Et j'achète pas mal de fringues sur Laredoute si on considère ça comme un magazine de mode ! Pour finir je dirais que je suis peut-être le seul gars du forum hahaha mais que je vous soigne